Fransylva Finistère (29) > Être propriétaire forestier finistérien > Pilote de 3 grands équilibres locaux
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L’équilibre « feuillus-résineux » dans le respect des contraintes géologiques, paysagères et du changement climatique |
🌳 De par la géologie des sols et du climat, il est plus facile de produire des résineux de qualité, plus rapidement, en Finistère où la forêt occupe 100 000 ha.
> Les résineux représentent 28% de la superficie de la forêt bretonne, les feuillus 72%
> La forêt de feuillu s’accroît en Bretagne de 4000 ha par an sous forme de boisement sans valeur sylvicole
🌳 Les friches représentent une surface importante : près de 100 000 ha en Finistère
De nombreux territoires, littoral, zones humides, PNRA… font l’objet de mesures de protections paysagères
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L’équilibre entre les 3 fonctions « économique – environnementale – sociétale » |
🌳 Les résineux représentent globalement plus de 90 % des sciages et alimentent la filière bois énergie par les éclaircies.
🌳 Les feuillus, qui sont de qualité secondaire, représentent 7% des sciages en Finistère. Par contre leur apport du point de vue environnemental, sociétal et biodiversité est essentiel et incontournable
🌳 Pour lutter contre le réchauffement climatique, la forêt de production de bois d’œuvre, et donc en Finistère les résineux, est au moins « deux fois » plus performante que la forêt naturelle :
> A la Séquestration du carbone dans les arbres s’ajoutent, en matière de réduction du CO2, et pour la forêt de production, le Stockage de carbone dans les produits bois et la Substitution dans les domaines de l’énergie (chauffage) et des matériaux (construction…)
> Or paradoxalement la forêt de résineux est en régression de 1000 ha/an, mettant à terme l’ensemble de la filière bois en péril avec un impact négatif sur l’empreinte carbone
Jouer la complémentarité des résineux et des feuillus est tout à fait possible car il y a des surfaces disponibles : croissance naturelle des accrus forestier (2-3% / an), friches importantes (100 000 ha), répartition feuillus 72% / résineux 28%, libération de terres agricoles de faible valeur. Il y a donc de la place pour toutes les sylvicultures, au bénéfice de l’économie, de l’écologie et de la société.
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L’équilibre « compétitivité de l’exploitation des bois – biodiversité » |